Pour un travail à visage
humain, (2) :
lutte contre la souffrance au travail
Le mal-être au travail prend souvent racine dans une charge de
travail qui ne cesse de s’accroître, des difficultés relationnelles exacerbées à l’occasion de restructurations ou de réorganisations de services. Quelles que soient sa forme et ses origines, le mal-être au travail doit faire l’objet d’une attention particulière de la part de la communauté professionnelle.
Propositions :
- Développer un management humain dans l'établissement.
- Continuer à faire vivre le groupe Risques Psycho Sociaux (RPS) au sein de notre établissement afin de prévenir tout risque de souffrance au travail.
- Repenser nos rapports entre personnels : pourquoi ne pas arriver à plus nous rassembler à de multiples occasions, quels que soient nos missions et nos statuts respectifs ?
- Instituer un médiateur de l'université. Ce médiateur, qui aura une très bonne connaissance du système universitaire, mettra en relation, lorsque cela sera nécessaire, tous les partenaires en cas de souffrance au travail. L'essentiel est qu’à toute question soit apportée une réponse et que cesse ce sentiment de non-écoute.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire